De plus en plus de jeunes avocats semblent se désintéresser de l’association et privilégier la recherche d'un équilibre vie professionnelle/vie personnelle différent de leurs employeurs. Qu'est-ce que cela implique la relation entre associés et collaborateurs ? Comment se positionner quand les attentes évoluent ? Et si anticiper la transmission de son cabinet devenait l'alternative à l'association ? Comment aborder cette étape en tant que collaborateur et en tant qu'employeur ?
Je vous propose de pousser ensemble la réflexion sur ce nouvel état d’esprit qui semble animer la profession et la vision de l'avocat avec un grand A.
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Bonne écoute !
Lilas Louise